Discussion Gouvernemental.

Nombre de messages : 24 Age : 37 Date d'inscription : 12/10/2008

Que faisaient Lacey en cette belle journée, elle se rendait voir la secrétaire du maire Mademoiselle Liz Sullivan. Elle avaient quelques questions a lui posé et une demande également très spécial. Certes elle avait un vague souvenir de cette femme qui était venue la voir on ne sait où mais c’était vraiment très vague. Elle se rendit donc à la mairie pour mettre un peut plus de mots sur certaine de ses questions. Pour cette occasion elle avait tout de même fait un léger effort d’habillement et elle portait une jupe noir, auquel s’ajoutait une chemise bourgogne et des ballerines noir a ses pieds. Elle avait même remonté ses cheveux, un exploit selon elle car ils était très sauvage ses temps si. Une fois arrivé a la mairie, elle se rendait au comptoir de sécurité pour y demander la permission de voir Miss Sullivan. Après une fouille qui bizarrement lui avait sembler habituelle elle parcourait un chemin à travers la mairie en compagnie d’un garde de sécurité et finalement s’assoyait devant le bureau de la secrétaire attendant que celle-ci veuille bien la recevoir.
Elle avait posé son sac en cuir sur le sol, sac qui ne la quittait jamais lorsqu’il était question de travail et contenait certain document précieux à ses yeux. Elle entendit une porte s’ouvrir et tournant les yeux vers celle-ci y apercevait…

Occupé comme souvent, Liz devait cette fois-ci encore une fois faire face à la question existentielle qui est : Ou organiser un bal d’Halloween ? Car oui, même si Elisabeth répugnait cette fête elle devait l’organiser toute seule tout bonnement parce qu’elle était la secrétaire du maire >.<. S’étant prise légèrement en retard à cause de bon nombre de chose à faire, la salle qu’elle prévoyait n’était donc plus libre. Elle n’eut pas le courage de la réquisitionner. Après tout même si elle avait le pouvoir de le faire, il ne fallait pas trop abuser non plus. De plus, elle savait que le maire Jack Harrison n’aurait pas aimé : Voila un inconvénient lorsqu’on devient trop proche d’une personne à force de le côtoyer : On se met à craindre systématiquement de toutes les actions qu’on fait en son nom car oui, Elisabeth Sullivan était l’ombre du maire, et quasiment personne ne connaissait réellement son visage. Chose qui ne saurait tarder, puisqu’elle organisait ce bak ou bon nombre de gens pour ne pas dire toute la population allait la voir collée au maire.

Découragée par toutes les salles occupées, elle eut soudain la brillante idée de contacter un de ses amis, le gérant du RCMH, même si la Radio City Music Hall n’était pas un bâtiment disons officiel ou habitué à recevoir un événement de cette ampleur, elle pensait que le Maire pourrait être de son avis, puisqu’il fallait de toute façon un début à tout… non ?

Elle retrouva son bureau, après avoir réservé la RCMH, et posté toute les invitations qui invitaient les gens à se réunir le 31/10/08 à 20h00 pétante. On lui informa qu’une jeune adolescente avait insisté pour s’entretenir en personne avec elle. Etonnée tout d’abord, puisqu’en général c’était le maire qu’on souhaitait voir et non elle, elle poussa la porte de son bureau situé juste en face de celui du maire. L’adolescente ne l’avait pas encore remarquée, puisqu’elle n’avait pas réagit. Celle-ci ne la voyait pas, puisque Liz était face à son dos. Cette adolescente aux cheveux légèrement ondulée qui semblait anxieuse lui rappela quelqu’un.

- Ca alors ! Mademoiselle Stevenson ! Comment allez-vous ?

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-Ca alors ! Mademoiselle Stevenson ! Comment allez-vous ?

La mademoiselle se retournait aux paroles de Miss Sullivan.Elle souriait timidement tout en se levant.

-Bonjour Mademoiselle Sullivan...Je vais bien et vous?

Elle lui tendait la main et attendait de voir si c'elle ci allait la prendre et répondre.

-Je suis désoler de vous déranger je sais que vous devez être très occuper mais j'ai quelques questions au sujet d'un article que l'université voudrait faire a votre sujet...et également une demande personnelle au sujet de...au niveau parental.

Elle savait que c'était une interdiction d'avoir des contacts avec ses parents elle était d'ailleur parfaitement daccord avec cela mais tout de même une questions lui tournait dans la tête et elle devait mettre une réponse dessu.
Et puis elle ne désirait en aucun cas reprendre directement contact avec eux.Pour elle ils était mort le jours où ils avait divorcé.cela la répugnait même de devoir faire cette demande mais son coeur et sa tête lui disait que ce n'était pas fini,qu'il y avait autre chose.Et si quelqu'un avait la réponse c'était bien se super gouvernement.

En voyant Lacey Stevenson dans son bureau l’étonna agréablement. Lacey et elles se sont connu lors de sa petite rébellion, que Jessica Meyer avait sut maitriser. En faite, il n’y avait rien de méchant, enfin si mais pas autant que bon nombre de New Yorkais ont put faire : Un article dans le journal de l’université qui parlait en la défaveur de l’actuel gouvernement, or comme tout le monde le sait si bien ici, si le régime est si stricte c’est juste pour apprendre le respect aux jeunes gens avant qu’ils ne se perdent. Liz avait eut en charge son dossier, et à force de se côtoyer les deux jeunes femmes parvinrent à s’entendre.

- Oui merci. Que puis-je faire pour vous ?

Liz lui tendit la main qu’elle serra. Liz vit bien que sa visiteuse était mal à l’aise. Bon ok, c’est à cause de Liz que Lacey à été envoyé pour faire le conditionnement, mais elle pensait que c’était de l’histoire ancienne. Elle posa les dossiers qu’elle avait en main sur son bureau, et s’assit en face de Lacey. Lorsque Lacey finit de lui exposer les raisons de sa venue ici, Liz ne sut pas où commencer. Le commencement, sans doute.

- Hum écrire un article ? Sur moi ? Vous savez que quasiment personne ne sait qui je suis et donc… je doute que votre article puisse intéresser quelqu’un, mais si je peux vous répondre à quelque question au sujet de Monsieur Harrison, j’en serais ravie.

Elle marqua une pause puis poursuivi :

- Quelque chose d’ordre personnel ?

Elle se tourna vers son ordinateur et ouvrit le rapport qu’elle s’était chargé de faire sur Lacey, afin de se remettre dans le bain.

- Quelque chose ne va pas ?

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Elle lui sourait un instant.

-Certe le maire est un homme très important et nous le savon tous,je ne comprend pas ceux qui sont contre ses idées.

Lacey ne se souvenait pas qu'elle avait été l'une des pro anti-gouvernement.Elle avait certe un vague souvenir lorsque quelque parlait contre le gouvernement mais bon on ne savait jamais trop ce qui se passait au centre de redressement,on y entrait,on y sortait mais sans vraiment avoir des souvenirs de celui-ci.

Lorsqu'elle entendit Liz Sullivan lui dire que son travail n'était pas vraiment importante et qu'il serait plus important de l'interroger au sujet du maire.

-Oui mais ce que les gens ne save pas c'est qu'il a une équipe et que vous êtes, Miss Sullivan, le point le plus fort de cette équipe,vous devez tout organiser et veiller a ce que tout ayent bien.Vous avez du courage et du talen ne l'oublier pas.

Dans la parole de la jeune fille était vriment passionné pas son métier de journaliste,elle adorait cela.Mais lorsque Liz lui demanda quel était ce sujet personnel,l'ambition dans ses yaux disparue.

-Heu enfin...Mes parents ont divorcés lorsque j'était jeune et de faute que ma mêre ai tromper mon pêre...Je lui en ai voulu longtemps mais je me demande seulement si lorsqu'il a quitter New York...il a refait sa vie...enfin s'il va bien et qu'il n'est pas mort.

Elle se tordait légèrement les mains le sujet la perturbait sans qu'elle ne sache pourquoi,elle ne s'était jamais poser des questions sur sa famille avant.

Liz Sullivan écoutait cette drôle de demoiselle, qui visiblement souhaitait écrire quelque chose sur elle, et non sur le Maire. Elle ne sut comment réagir. Voila pourquoi, elle proposa à la charmante venue de modifier légèrement son sujet d’article, en optant pour le Maire. Il lui serait amusant de constater le changement, d’avant le conditionnement que Jessica Meyer avait mit sur pied et après. Cependant, elle ne lâcha pas prise.

-… Si vous le souhaitez vraiment… marmonna celle-ci.

Certainement contente d’avoir réussi à obtenir cet… interview ! Elle changea totalement de sujet pour quelque chose de beaucoup plus personnel : Lacey tourna en rond pendant quelque temps avant d’être franche, et lui demander finalement si son père est toujours à New York. Elisabeth Sullivan fut prise au dépourvue : Elle s’attendait à tout sauf à sa. Elle lui demanda de patienter un instant, le temps pour elle de demander de sortir un dossier des archives, étant donné que les civils n’étaient pas vraiment sa spécialité. En faite, New York se préoccupait peu de ces gens. C’est donc tout naturellement que leurs dossiers furent vite expédiés dans les archives.
Après quelque moment d’attente, une femme lui expédia par courriel le dossier de celui-ci dans son ordinateur.

- On m’indique que votre père est toujours ici… et divorcé, mais je pense que vous le savez déjà. Il n’y a aucun document officiel lui concernant indiquant si oui ou non il a une nouvelle liaison.

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Lorsqu’elle entendit que son père était toujours vivant elle eu un léger sentiment de bonheur. Elle ne l’aimait plus mais c’était seulement un sentiment d’appartenance, serte elle avait Alexander et ses amis mais bon ce n’était pas la même chose. Elle sortie alors de son sac un document de et sortit un article qu’elle avait composer sur le maire. Pourquoi ne pas lui montrer une futur publication pour détendre l’atmosphère qu’elle avait crée avec son interview et son problème.

-Merci pour ses recherche Miss Sullivan, ses réponses aident certaines de mes réflexions. Voici un article que j’espère sera paru bientôt dans le journal de l’université , au sujet du maire bien sur.

Elle lui tendait l’article.

Article :

Titre : Le futur, une nouvelle vision des choses. Par : Lacey Stevenson.

Comment ne pas se rappeler du jour ou la vie pour nous simple membre de l’état de New York, avons eu enfin les yeux ouvert par un grand homme. Jack Harrison , nous à aider a voir que la plupart des jeunes de notre âge tournait mal, que le nombres d’agressions et de crimes augmentait dans nôtre belle ville. Bref sans lui combien de jeunes serait mort dans une des rues la nuit et combien d’enfants auraient encore vu leurs parent se séparé ou simplement se faire abandonner par ceux-ci. Monsieur Harrison a fait ce que tous craignait de faire depuis longtemps, il a changer un monde qui se dégradait en monde qui relui de jour en jour. Bref nous lui devons beaucoup.

Le futur pour nous jeunes Universitaires n’est que le départ d’une nouvelle vie avec de nouvelles valeurs. Certes je ne dirait pas que certain rebelles son contre cette vie et que selon moi ils ont tors mais ne serait-ce pas mieux pour ceux-ci de simplement se rendre compte de tout ce qu’il gagnent en vivant ici. Une vie sans ennuis.

Jack Harrison est un bon Maire, un bon Patron et un bon Père , que rêver de mieux pour nous aider à rattraper toutes ses années que nous avons passés à devenirs aussi jumeaux des pays voisin en imitant leur manières de vivre.

……..

Elle attendait la réaction de celle-ci se demandant si elle avait bien fait finalement de lui montrée.

L’espace d’un instant, Liz ne sut décrire l’expression
de Lacey lorsqu’elle lui avait que son père était encore en vie. Cependant,
elle reprit très vite contenance et lui remercia pour l’information. Elle se
pencha ensuite vers son sac, sortant ainsi l’article dont elle lui avait parlé.
Elle le lui tendit. Liz lut le titre « Le futur,
une nouvelle vision des choses. »

Liz eut un doute en lisant ce titre. Etait-elle
redevenue une mutinners ?

Après, elle se mit enfin à lire cet article. C’était
l’exact opposé de l’article qu’elle avait écrite il y a quelques mois, avant le
conditionnement. A la fin de sa lecture, elle leva les yeux vers son invitée.

- C’est… surprenant.

Elle était surtout soulagée de n’être
finalement pas l’objet principal de son article. En faite cet article était comme
les autres. C’est ce qu’elle voulait, non ? Elle posa la feuille sur la
table.

- Et en quoi puis-je faire pour vous ?

C’est vrai quoi. Elle avait beau chercher,
elle ne trouvait pas en quoi elle pouvait être utile.